Est-ce véritablement l’ennemi numéro UN ? Vous saurez en être le juge.
Le courriel!
Voici deux mises en situation type:
Le message important:
Tout le monde sait qu’il est très difficile de se faire comprendre en communicant par courriel puisqu’on ne peut véhiculer le ton ou le langage corporel avec un courriel.
Lorsque la communication implique une ou des émotions: évitez le courriel, vous pourriez facilement être mal interprété et générer beaucoup de mécontentement.
Est-ce que la situation mérite un soin particulier? Utilisez le moyen que mérite la situation.
Autre situation:
Trouver un nouveau client, un nouveau collaborateur, inviter quelqu’un, planifier une rencontre ou autres…
Selon différents rapports que j’ai trouvé en ligne…
En moyenne, lors de campagnes marketing, 15 à 28% des courriels seraient ouverts.
Les autres courriels échangés obtiennent une note d’environ 38%… 62% des courriels sont perdus.
Si c’est important, pourquoi se fier à un médium qui manque d’efficacité?
Il est difficile pour moi de quantifier le nombre de témoignages de frustration et d’expression de sentiment de rejet
qui me proviennent de gens d’affaires qui ne reçoivent pas de réponse à leurs courriels.
À quel point voulez-vous atteindre votre objectif?
À mon humble avis, le courriel devrait principalement soutenir la conversation en procurant des détails d’informations, des faits ou en transférant des documents.
Sinon, je considère qu’il est important de bien mesurer ses mots et d’assurer une écriture claire et précise afin d’éviter tout malentendu qui pourrait résulter à générer un “beau malaise”.
Pour bâtir de la relation… Favorisez l’approche humaine en premier! Le courriel nous sert, mais ne doit pas devenir un substitut de communication.