Je reviens d’un week-end à New York et je peux vous dire que la crise économique se fait encore sentir. Il y a toujours eu beaucoup de vendeurs de toutes sortes dans les rues de New York et j’ai observé attentivement ce qui se passait en matière de commerce.
Les difficultés, l’urgence de faire arriver les finances et le désespoir de s’en sortir poussent les vendeurs à exercer une pression que je considère déloyale, mais que je comprends.
Les arguments de ventes sont axées à nous faire sentir coupable de ne pas acheter.
D’autres utilisent la colère, l’insistance et sont très agressifs dans leur approche.
Peu d’entres-eux s’affichent de manière confiante et agréable…
Plus les vendeurs sont désespérés, plus il y a de pression ou l’approche est décousue.
Plus les vendeurs sont confiants, plus la vente est structurée et facile.
Et malgré tout l’argent qui circule à New York, peu sont confiants…